Utilisation de l'irrigation déficitaire avec des eaux usées traitées pour améliorer la productivité des cultures du maïs sucré, pois chiche, féverole et quinoa

Auteurs-es

  • Abdelaziz HIRICH Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc
  • Redouane CHOUKR-ALLAH Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc
  • Hasna FAHMI Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc
  • Abdellatif RAMI Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc
  • Khadija LAAJAJ Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc
  • Sven-Erik JACOBSEN Copenhagen University, Faculty of Life Sciences, Department of Agricultural Sciences, Taastrup, Denmark
  • Halima EL OMARI Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc

Résumé

Plusieurs essais ont été conduits dans le sud du Maroc (IAV-CHA, Agadir) durant deux saisons 2010 et 2011 dont le but d’évaluer l’effet de l’irrigation déficitaire par les eaux usées traitées sur plusieurs cultures (quinoa, maïs doux, fève et pois chiche). Durant la première saison (2010) trois cultures ont été testées, quinoa, maïs doux et pois chiche en appliquant 6 traitements d’irrigation déficitaire durant tout les stades culturaux en alternant 100% d’ETm comme condition de confort hydrique et 50% d’ETm comme conditions de stress durant le stade de croissance végétative, floraison et remplissage des grains. Pour toutes les cultures, le rendement et la productivité d’eau les plus élevés ont été obtenus lorsque l’irrigation déficitaire a été appliquée durant le stade de croissance végétative. Pendant la deuxième saison (2011) deux lignés du quinoa, la fève et le maïs doux ont été cultivées en adoptant 6 traitements d’irrigation déficitaire (bour, 0, 25, 50, 75 et 100 d’ETm) appliqués juste pendant le stade de croissance végétative, tandis que durant le reste du cycle cultural les cultures ont reçues une irrigation complète sauf pour le traitement bour. Pour le quinoa et la fève, appliquant 50% d’ETm durant le stade végétatif a permis d’obtenir le rendement et la productivité d’eau les plus élevés, tandis que pour le maïs doux le traitement optimal qui a enregistré le rendement et la productivité d’eau les plus élevés est celui qui a reçu 75% d’ETm. 

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Biographie de l'auteur-e

Abdelaziz HIRICH, Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, Rabat, Maroc

 

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Publié-e

06-12-2013

Numéro

Rubrique

Production Végétale et Environnement